Cannes 2018 – 1er Prix de la Cinéfondation attribuée au « prophète électrique » de Diego Céspedes

Cannes 2018 – 1er Prix de la Cinéfondation attribuée au « prophète électrique » de Diego Céspedes
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Le Jury de la Cinéfondation et des courts métrages présidé par Bertrand Bonello et composé de Khalil Joreige, Valeska Grisebach, Alanté Kavaïté et Ariane Labed, a décerné les prix de la Cinéfondation lors d’une cérémonie salle Buñuel, suivie de la projection des films primés

La Sélection comprenait 17 films d’étudiants en cinéma choisis parmi 2 426 candidats en provenance de 512 écoles de cinéma dans le monde.

La Cinéfondation alloue une dotation de 15 000 € pour le premier prix, 11 250 € pour le deuxième et 7 500 € pour le troisième. Le lauréat du premier prix a également l’assurance que son premier long métrage sera présenté au Festival de Cannes.

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Premier prix

El Verano del León eléctrico (« L’Été du lion électrique »), réalisé par Diego Céspedes
Université du Chili – ICEI, Chili

Synopsis – Caché dans une maison loin de la ville, Alonso (11 ans), accompagne sa chère sœur (17 ans). Elle attend de devenir la septième femme du Lion, un prophète qui (d’après certaines histoires) électrocute quand on le touche.

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Deuxième prix ex aequo

Kalendar (« Calendrier ») d’Igor Poplauhin
École du Nouveau Cinéma de Moscou, Russie

Synopsis – Au premier abord c’est juste une femme ordinaire. Mais tous les deux mois environ, sa vie normale s’interrompt. Dans le secret et loin des personnes qui lui sont chères, elle entame un voyage. À quoi pense-t-elle et quel est le but de ce voyage ?
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Dong Wu Xiong Meng (« Les tempêtes dans notre sang ») de Shen Di
Académie de théâtre de Shanghai, Chine

Synopsis – Uma est une fille africaine de 22 ans. Elle parcourt des milliers de kilomètres dans la campagne du nord-est de la Chine, dans un voyage à la recherche du père de son bébé.

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Troisième Prix

Inanimate de Lucia Bulgheroni
NFTS, Royaume-Uni

Synopsis – Katrine a une vie normale, un travail normal, un petit-ami normal et un appartement normal dans une ville normale. C’est ce qu’elle pense en tout cas, jusqu’au jour où tout tombe en morceaux, au sens propre du terme !

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