Le magazine artpress fait la part belle au cinéma dans son numéro de juin

Le magazine artpress fait la part belle au cinéma dans son numéro de juin
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Le numéro de juin d’artpress fait la part belle au cinéma, dans son numéro de juin, avec une interview du réalisateur Bruno Dumont, à l’occasion de la sélection de Ma Loute au festival de Cannes 2016. Le magazine s’intéresse également à la façon dont de très jeunes cinéastes peuvent diffuser leur premier long-métrage. Le spectacle vivant n’est pas en reste avec les expériences théâtrales que Georges Banu a partagées avec des spectateurs… Un beau numéro à découvrir en kiosques.

Qu’est-ce qui est tout à la fois burlesque, gore, mystérieux, sexuel et en même temps beau et métaphysique ? Ma Loute, le nouveau film de Bruno Dumont sélectionné pour le Festival de Cannes. Il a enthousiasmé la rédaction. Le réalisateur a répondu aux questions de Jacques Henric et Catherine Millet.

Quel artiste se trouve en but à mille difficultés parfois pour imposer son travail jugé par certains trop politique, mais qui a représenté son pays d’origine, l’Arménie, à la Biennale de Venise et qui s’est vu récompensé l’année dernière par le prix Marcel Duchamp ? Melik Ohanian qu’Anaël Pigeat a rencontré alors qu’il préparait son exposition au Centre Pompidou (du 1er juin au 15 août).

Comment appelle-t-on des œuvres d’art qui rendent des services comme ceux d’une table, d’une chaise, d’un mini-bar ou d’un interrupteur, et qui ne sont pas du design ? De la sculpture d’usage. C’est la définition forgée par l’artiste Isabelle Plat pour désigner son travail et celui de quelques autres. D’Allen Jones à Nathalie Elemento, panorama.

Une salle de spectacle plongée dans le noir, cela signifie-t-il que c’est relâche ? Non, s’il s’agit des récentes expériences théâtrales que Georges Banu a partagées avec d’autres spectateurs, tous leurs sens exacerbés. Il en témoigne dans un texte intitulé l’Obscurité, vérité double, solitude partagée.

Qui est l’écrivain qui publie une Histoire de la littérature récente pour précisément « éviter de geindre sur sa dégringolade présumée » ? C’est Olivier Cadiot, qui a décidé d’en finir avec les idées générales sur le sujet. Il s’en explique auprès de Didier Arnaudet.

Si vous avez d’autres questions sur la Biennale de Sydney, sur la façon dont de très jeunes cinéastes peuvent diffuser leur premier long-métrage, sur la personnalité de Farideh Cadot qui fête les 40 ans de sa galerie, ou si vous voulez encore savoir ce qu’est la Banalyse, eh bien précipitez-vous sur ce nouveau numéro d’artpress.

Le sommaire du numéro est à découvrir sur le site d’artpress.

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