Henry de Montherlant : 50 ans après sa mort, quelle postérité ?

Henry de Montherlant : 50 ans après sa mort, quelle postérité ?
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L’écrivain et académicien français Henry de Montherlant, enfant terrible de la littérature, mourait il y a 50 ans. On lui doit quelques-unes des plus belles pièces du répertoire théâtral français : La Reine morte (1942), Malatesta (1946), Le Maître de Santiago (1947), La Ville dont le prince est un enfant (1951) et Le Cardinal d’Espagne (1960). Devenant aveugle, il se suicide le 21 septembre 1972.

Si ses relations ambiguës avec les femmes et les (jeunes) hommes ont hélas occupé la plupart des journaux depuis sa mort, au prix des contradictions les plus absolues et sans que rien ne soit définitivement établi, Henry de Montherlant a légué une œuvre foisonnante, dont l’essentiel a paru dans la prestigieuse Bibliothèque de la Pléiade.

Rares sont néanmoins ceux qui, dans le milieu théâtral, font vivre ce prodigieux héritage littéraire. Signalons simplement les différentes rétrospectives que lui a consacrées l’acteur et metteur en scène Jean-Luc Jeener, qui le considère comme l’un de ses maîtres, dans « son » théâtre du Nord-Ouest (Paris).

Henry de Montherlant (dessin : Caly)

Henry de Montherlant (dessin : Caly)

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Dessin de Caly

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