Musique : Robert Charlebois, un gars pas ordinaire

Musique : Robert Charlebois, un gars pas ordinaire
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Le Québécois Robert Charlebois vient d’être fait commandeur des Arts et des Lettres et fête ses 50 ans de carrière avec une tournée française. Il a beau chanter « Je suis un gars ben ordinaire », il n’y a que Robert Charlebois pour attirer autant de têtes connues à l’un de ses concerts, comme l’an passé à Bobino : Renaud, Bruel, Souchon, Delon, Nolwenn Leroy, Line Renaud. Rien que ça. Ils étaient presque tous là à nouveau en décembre quand il a été fait commandeur des Arts et des Lettres par la ministre de la culture, Françoise Nyssen.

Il devrait encore y avoir du beau monde pour l’applaudir le 7 avril au Grand Rex, étape parisienne d’une tournée française qui commence dans quelques jours. Car, à 73 ans, Robert Charlebois connaît tout le monde, a tout vu, tout vécu.

« Les artistes qui sont venus à Bobino ou à ma remise de médaille sont vraiment des copains. D’autres ne sont plus là, comme Coluche, Ferré avec qui j’ai fait 40 concerts à travers la France, Barbara qui a chanté mon Piano noir, Gainsbourg avec qui j’ai pris des cuites monumentales, ou Roland Topor. On faisait des courses de camembert pendant des heures. Celui qui coulait le plus vite avait gagné. »

Le chanteur se raconte avec gourmandise. Celle de l’épicurien qui croque dans tout ce qui lui arrive avec délice. Un homme aux mille vies, presque autant de rencontres et plus de 400 chansons…

Lire l’article complet d’Emmanuel Marolle sur le site du journal Le Parisien.



 

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