9 juillet 1779 : simplicité, grâce et plénitude d’une symphonie de Mozart

9 juillet 1779 : simplicité, grâce et plénitude d’une symphonie de Mozart
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9 juillet 1779… 242 années jour pour jour. Tendre et sereine, la 33e symphonie n’est pas la plus connue de Mozart, mais assurément l’une de celles qui permettent de voir la vie moins grise.

Si on ne sait pas très bien dans quel cadre Wolfgang Amadeus Mozart a composé sa trente-troisième symphonie, on sait qu’il avait sans doute l’objectif de lui donner la forme stabilisée par Haydn, en trois mouvements d’abord, avant de rajouter un court menuet entre les deuxième et troisième mouvements, pour en avoir quatre.

Tendre et sereine, cette symphonie n’est pas la plus connue de Mozart, mais assurément l’une de celles qui permettent de voir la vie moins grise.

Puisque par ailleurs elle ne manque pas d’élégance, la voici interprétée par l’un des plus élégants chefs d’orchestre qui soit, Carlos Kleiber, dans un de ses tout derniers et si rares concerts à Munich, à la tête de l’Orchestre d’État de Bavière. Simplicité, grâce et plénitude, quoi de plus juste pour un 9 juillet…

Cédric MANUEL



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Rubrique : « Le saviez-vous ? »



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